Le déséquilibre entre des dépenses d’énergie en baisse du fait de l’inactivité physique et une alimentation très énergétique (excès de calories apportées par le sucre, les féculents ou les graisses) est le principal déterminant de l’épidémie d’obésité. L’augmentation de l’activité physique, associée à une consommation réduite d’aliments riches en graisses et d’aliments et de breuvages riches en sucres, peut prévenir un gain de poids préjudiciable à la santé. La traduction de ces objectifs simples en mesures concrètes nécessite d’importants changements sociaux et environnementaux pour promouvoir et soutenir efficacement des choix personnels plus sains.
Le gain de poids excessif, la surcharge pondérale et l’obésité ainsi que l’inactivité physique sont responsables des taux toujours plus élevés de diabète type 2 dans le monde. Le diabète aggrave le risque de cardiopathies, d’affections rénales, d’accidents vasculaires cérébraux et d’infections. L’augmentation de l’activité physique et le maintien d’un bon équilibre pondéral sont fondamentaux pour la prévention et le traitement du diabète.
Les premiers signes d'obésité apparaissent souvent après une grossesse, comme le rappelle le sites des mamans et de leurs enfants comme3pommes.com
Les maladies cardio-vasculaires, maladies les plus meurtrières dans le monde, sont dues dans une large mesure aux déséquilibres alimentaires et à l’inactivité physique. Le risque de maladies cardio-vasculaires sous leurs formes principales, cardiopathies et accidents vasculaires cérébraux, peut être diminué par une consommation réduite de graisses saturées et trans, et une consommation suffisante d’acides gras polyinsaturés (n-3 et n-6), de fruits et de légumes et une alimentation plus pauvre en sel, ainsi que par l’activité physique et la surveillance du poids. La réduction de l’apport en sel aide à réduire la tension, cause majeure de maladies cardio-vasculaires.
Certains types de cancers sont favorisés par une mauvaise hygiène de vie
Le tabac est la principale cause de cancer mais certains facteurs alimentaires favorisent grandement divers types de cancerss. Le maintien d’un bon équilibre pondéral réduit le risque de cancer de l’oesophage, du côlon et du rectum, du sein, de l’endomètre et des reins. Une consommation d’alcool réduite diminue le risque de cancer de la bouche, de la gorge, de l’oesophage, du foie et du sein. Une consommation suffisante de fruits et de légumes devrait réduire encore le risque de cancer de la cavité buccale, de l’oesophage, de l’estomac et du côlon et du rectum.